Le Wagon : immersion dans le bootcamp tech le plus convoité

J’avais besoin de changement, et Le Wagon m’a interpellé

Comme beaucoup d’entre vous peut-être, je me suis un jour retrouvé à tourner en rond dans mon métier. Pas mal de stress, un sentiment de stagnation, et surtout une envie grandissante de comprendre “ce qui se cache derrière le code”. On en parle partout : reconversion, numérique, avenir… Et puis ce nom revient souvent : Le Wagon.

Je ne vais pas tourner autour du pot : j’ai creusé le sujet, longuement. Et dans cet article, je vous partage ce que j’ai découvert, sans jargon inutile, sans surenchère. Juste ce que j’aurais aimé lire moi-même au début de mes recherches.

Le Wagon, c’est quoi au juste ?

Imaginez une école, mais sans les bancs glacials et les exposés interminables. Le Wagon, c’est un bootcamp, un format intensif, né à Paris en 2013, qui forme aux métiers du développement web et de la data. L’idée est simple : apprendre à créer des applications et à manipuler des données, en un temps record, avec un esprit très “communautaire”.

Aujourd’hui, ils sont présents dans plus de 40 villes à travers le monde. Ce qui est fou, c’est que la structure reste très cohérente, peu importe où vous le faites. On sent une pédagogie bien huilée, pensée pour ceux qui partent de zéro.

Est-ce que c’est pour vous ? (spoiler : pas besoin d’être un geek)

C’est LA question. Et franchement, je me la suis posée mille fois. Il y a cette idée reçue que coder, c’est pour les matheux ou les mordus d’ordinateurs. Je vous rassure : c’est faux.

Dans ma promo, il y avait un ancien prof de philo, une graphiste freelance, un cuisinier, et même une maman en pleine réinvention professionnelle. L’objectif, ce n’est pas d’en faire des développeurs surdoués du jour au lendemain, mais de les rendre autonomes, créatifs et opérationnels.

[featured_image size="large" class="custom-class"] Vous n’avez jamais ouvert un terminal ? Ça peut faire peur, oui. Mais tout est fait pour que vous soyez accompagné, et surtout encouragé à pratiquer. Le Wagon, c’est du concret, pas des PowerPoint soporifiques.

À quoi ressemble une journée type ?

C’est intense, je préfère vous prévenir. Si vous optez pour la version full-time, comptez 9 semaines, à raison de 40 à 50 heures par semaine. On commence le matin avec un “live code”, une sorte de mini cours interactif, puis vous bossez à deux, en binôme, sur un exercice de la journée.

Chaque vendredi, vous présentez un projet. Et à la fin du bootcamp, vous avez deux semaines pour créer une vraie application, en équipe. Le genre de projet qui impressionne en entretien.

Il existe aussi une version part-time, répartie sur 24 semaines. Idéal si vous travaillez à côté ou si vous avez des obligations familiales.

Le nerf de la guerre : le prix

C’est un investissement, clairement. En France, la formation coûte entre 7 000 et 8 000 €, selon les villes et les options. Mais bonne nouvelle : elle est éligible au CPF, et dans certains cas, vous pouvez aussi mobiliser des aides Pôle emploi.

Est-ce que ça les vaut ? Honnêtement, oui. Ce n’est pas donné, mais si vous jouez le jeu à fond, vous en ressortez avec un vrai bagage. Et surtout, un accès à un réseau international d’anciens élèves qui vous ouvre plus de portes qu’on ne l’imagine.

Et après, on devient quoi ?

C’est peut-être ce qui vous intéresse le plus. On ne fait pas Le Wagon “pour le fun”. Les débouchés sont nombreux : développeur web, product manager, data analyst, freelance tech, voire entrepreneur.

J’ai croisé des alumni qui ont été embauchés chez Doctolib, Blablacar, ou même qui ont monté leur propre startup. Certains choisissent aussi de devenir freelance, avec une belle liberté à la clé.

Côté salaire ? En général, les profils juniors sortent avec des premiers postes entre 32 000 et 38 000 € bruts/an, selon les villes. Mais l’évolution peut être rapide, surtout si vous continuez à vous former en parallèle.

Ce que j’en ai pensé, vraiment

J’ai beaucoup hésité avant de me lancer, je ne vais pas vous mentir. Mais avec le recul, je dirais que Le Wagon m’a offert une boussole dans un monde numérique qui bouge vite. C’est structuré, challengeant, et surtout, ça vous donne envie d’aller plus loin.

Ce n’est pas magique non plus. Il faut s’accrocher, être régulier, accepter de se tromper souvent. Mais si vous êtes prêt à ça, vous n’en ressortirez pas indemne (dans le bon sens du terme).

Si vous hésitez encore, voici ce que j’aurais aimé qu’on me dise

  • Non, ce n’est pas trop tard pour apprendre à coder, même à 40 ans.
  • Oui, on peut repartir de zéro et finir avec un projet web abouti.
  • Non, ce n’est pas réservé aux hommes ou aux geeks.
  • Oui, ça demande du temps et de l’énergie, mais c’est aussi stimulant qu’un marathon bien préparé.

Une comparaison qui m’a aidé à choisir

Avant de choisir Le Wagon, j’ai aussi regardé d’autres options. Voici un petit comparatif personnel :

BootcampDuréePrix approximatifLanguePoints forts
Le Wagon9 semaines7 000–8 000 €🇫🇷Réseau, méthode, intensité
Ironhack9 semaines7 500 €🇬🇧/🇫🇷UX + Web dev, très startup
Jedha12 semaines5 000–7 000 €🇫🇷Spécialisé data
O’Clock6 mois5 000 €🇫🇷100 % en ligne, horaires flexibles

Tout dépend de ce que vous cherchez. Le Wagon est top si vous aimez apprendre vite, en groupe, et avec une dynamique de promo forte.

 
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Le Wagon : immersion dans le bootcamp tech le plus convoité

José PEREZ

Expert en référencement naturel (SEO) depuis plus de 17 ans, j'optimise les sites E-commerce pour les moteurs de recherche. J'aide les entreprises à développer leur visibilité sur Google afin d'augmenter leur chiffre d'affaires en ligne. Ma mission est d'aider les entreprises à se positionner en tête des résultats de recherche et à attirer un public ciblé grâce à des stratégies SEO efficaces et éthiques.

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